Mercredi 16 mai 2018, 10h-12h, INSA Lyon, salle de réunion DEEP, 1er étage, Bât. Coulomb, 34, av. des arts, 69621 Villeurbanne
Intervention d’Elizabeth Couzineau, docteur en sciences de gestion, Université François Rabelais de Tours
Dans le cadre de ses travaux doctoraux, Elizabeth Couzineau a cherché à comprendre les mécanismes qui ont conduit à la légitimation d’une entreprise familiale industrielle au sein d’un marché fondé sur l’innovation et la technologie, et en particulier les effets du capital social sur ce processus.
L’entreprise Lorbeer1 a été étudiée dans son développement au sein de l’électromobilité. Alors que le contexte français pouvait laisser supposer que les acteurs historiques du transport urbain et les constructeurs français développeraient conjointement des offres de services leur assurant une situation oligopolistique, c’est un « nouvel entrant », l’entreprise Lorbeer, qui est devenu l’acteur central de la mobilité électrique. La saga familiale de l’entreprise Lorbeer, ainsi que le succès des solutions d’électromobilité, offrent ainsi un terrain riche pour étudier en profondeur les effets du capital social dans un secteur innovant.
- Pour des raisons de confidentialité, le cas a été anonymé. [↩]
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Sophie Vareilles (3 mai 2018). Le rôle du capital immatériel dans le développement de l’innovation. Urbanisation et anthropoconstruction. Consulté le 15 octobre 2024 à l’adresse https://doi.org/10.58079/d26r